Enfin rentrés sur l'Ile.
Ulysse est un petit joueur: nous avions prévu et retenu de longue date notre retour sur le bateau de nuit ( comme ça, on roule la journée, éventuellement on fait quelques emplettes le vendredi juste avant de partir car les magasins ont réouvert, on arrive pour diner et se coucher et ne pas voir les vagues pour les plus fragiles d'entre nous). Mais, en guise de joyeux réveillon, mel des jaunes et bleus ( et non, pas IK*A pour une fois) pour nous avertir que le bateau, il n'y en avait plus. Après quelques ( 20 à 30 mn, quand on aime on ne compte pas) minutes d'attente, "choix" du bateau: et hop, une journée de vacances en moins!
Donc route de nuit, avec changement de conducteur, enfants qui dorment dans la voiture, froid... Embarquement, ouverture des cabines, tiens, il n'y a que 2 lits. L'Homme retourne à la réception un peu agacé ( et pour ceux qui ont la chance de le connaître, un peu agacé, c'est déjà pas mal). Toujours est-il que le français du réceptionniste a progressé très rapidement et que dans les 5 mn nous avons eu tous les lits dévérouillés dans notre cabine. Mais bon, les enfants avaient dormi dans la voiture...et pas nous!
Donc arrivée un peu au radar à la maison le lendemain ( avec plus d'une heure de retard, mais mer d'huile).
Et lundi, au boulot, avec le collègue qui devait prendre le même bateau que nous: " Alors, on vous a pas vus, vous avez pris quel bateau?" " Ben nous, on avait laissé le numéro de téléphone à Ajaccio, alors on a vu en arrivant au port qu'il n'y avait pas de bateau!"
Bon, ben finalement, ça aurait pu être pire!
Tout ça pour en revenir au " personne ne sort" du jour:
je range depuis une semaine ( le goguenard du fonds qui vient de dire: " que depuis une semaine, ça fait pas long sur *tuit ans!" sort tout de suite ou je le lapide à coups de figues molles, que en plus c'est plus la saison).
Aujourd'hui, j'ai bien trié tous mes boutons par couleurs, dans des petits sachets, rangé la laine...( et tout mangé le chocolat?! Ben oui, quelle question!) et j'ai attaqué les MCI ( Marie Claire Idées, en langage initié), tout en cherchant le patron de l'écharpe pour laquelle j'ai tout acheté lors de mon passage à la Drogu*rie...tout sauf la fiche, parce que ma bonne dame, c'est un modèle paru dans MCI et je les ai tous.
Oui, ben non. Je les AVAIS tous ( enfin depuis le n°12). Parce que maintenant, il me manque le n°35 ( hiver 1999) et le N°50 ( automne). Et que j'ai frimé ( un peu) : " oui, ben c'était pas la peine de jeter mes MCI, pasque d'abord il me les faut et en plus j'te f'rais dire que je vais aussi sec les recommander et pis ça va coûter vachement plus cher, na".
Sauf qu'avant d'aller me coucher, j'ai regardé dans MCI. Et que les numéros que l'on peut recommander commencent au 36! Bouh ouh!
Donc si vous avez tenu le choc jusqu'à cette ligne, que vous avez ( non, je ne veux pas savoir qui vous avez tué pour ça) un MCI n°35 qui ne vous sert pas ( un double, une erreur d'abonnement...que sais-je?), n'hésitez pas à me contacter! ( en plus, je suis sûre que c'est celui-là et pas un autre qui renferme MON patron d'écharpe).
Allez, la suite au prochain numéro...
PS pour les petitsmenuillustrivores: le hors série d'hiver est en cours de réalisation, pour une livraison dans vos boîtes mel avant le 31 janvier ( bon, ça y est, la dead line est fixée).
Ulysse est un petit joueur: nous avions prévu et retenu de longue date notre retour sur le bateau de nuit ( comme ça, on roule la journée, éventuellement on fait quelques emplettes le vendredi juste avant de partir car les magasins ont réouvert, on arrive pour diner et se coucher et ne pas voir les vagues pour les plus fragiles d'entre nous). Mais, en guise de joyeux réveillon, mel des jaunes et bleus ( et non, pas IK*A pour une fois) pour nous avertir que le bateau, il n'y en avait plus. Après quelques ( 20 à 30 mn, quand on aime on ne compte pas) minutes d'attente, "choix" du bateau: et hop, une journée de vacances en moins!
Donc route de nuit, avec changement de conducteur, enfants qui dorment dans la voiture, froid... Embarquement, ouverture des cabines, tiens, il n'y a que 2 lits. L'Homme retourne à la réception un peu agacé ( et pour ceux qui ont la chance de le connaître, un peu agacé, c'est déjà pas mal). Toujours est-il que le français du réceptionniste a progressé très rapidement et que dans les 5 mn nous avons eu tous les lits dévérouillés dans notre cabine. Mais bon, les enfants avaient dormi dans la voiture...et pas nous!
Donc arrivée un peu au radar à la maison le lendemain ( avec plus d'une heure de retard, mais mer d'huile).
Et lundi, au boulot, avec le collègue qui devait prendre le même bateau que nous: " Alors, on vous a pas vus, vous avez pris quel bateau?" " Ben nous, on avait laissé le numéro de téléphone à Ajaccio, alors on a vu en arrivant au port qu'il n'y avait pas de bateau!"
Bon, ben finalement, ça aurait pu être pire!
Tout ça pour en revenir au " personne ne sort" du jour:
je range depuis une semaine ( le goguenard du fonds qui vient de dire: " que depuis une semaine, ça fait pas long sur *tuit ans!" sort tout de suite ou je le lapide à coups de figues molles, que en plus c'est plus la saison).
Aujourd'hui, j'ai bien trié tous mes boutons par couleurs, dans des petits sachets, rangé la laine...( et tout mangé le chocolat?! Ben oui, quelle question!) et j'ai attaqué les MCI ( Marie Claire Idées, en langage initié), tout en cherchant le patron de l'écharpe pour laquelle j'ai tout acheté lors de mon passage à la Drogu*rie...tout sauf la fiche, parce que ma bonne dame, c'est un modèle paru dans MCI et je les ai tous.
Oui, ben non. Je les AVAIS tous ( enfin depuis le n°12). Parce que maintenant, il me manque le n°35 ( hiver 1999) et le N°50 ( automne). Et que j'ai frimé ( un peu) : " oui, ben c'était pas la peine de jeter mes MCI, pasque d'abord il me les faut et en plus j'te f'rais dire que je vais aussi sec les recommander et pis ça va coûter vachement plus cher, na".
Sauf qu'avant d'aller me coucher, j'ai regardé dans MCI. Et que les numéros que l'on peut recommander commencent au 36! Bouh ouh!
Donc si vous avez tenu le choc jusqu'à cette ligne, que vous avez ( non, je ne veux pas savoir qui vous avez tué pour ça) un MCI n°35 qui ne vous sert pas ( un double, une erreur d'abonnement...que sais-je?), n'hésitez pas à me contacter! ( en plus, je suis sûre que c'est celui-là et pas un autre qui renferme MON patron d'écharpe).
Allez, la suite au prochain numéro...
PS pour les petitsmenuillustrivores: le hors série d'hiver est en cours de réalisation, pour une livraison dans vos boîtes mel avant le 31 janvier ( bon, ça y est, la dead line est fixée).
Allez, la suite au prochain numéro...