N°93: je divorce!

Non mais regardez moi cette brute sans coeur qui partage ma vie, ce qu'elle est capable de faire à une pôvre tite porte sans défense. A c'est sûr, un quintal dans sa tête, elle est toute chose!


Bon, il faut quand même que je précise deux ou trois petites choses:
_ Titou était bloqué de l'autre côté de la porte et le bitoniau ( encore appelé péton, depuis qu'on a regardé "Liberté Oléron" à la télé, un grand moment...qui a dit de solitude?) qui cède d'habitude en un coup de tournevis était en position niet, je bouge plus.
_ l'Homme devait migrer vers la capitale pour des raisons professionnelles dès le soir ( et laisser son petit affamé dans la salle de bain verrouillée, l'angoasse)
_ l'Homme a tenté de murmurer à l'oreille de la porte, mais ça n'a pas suffit ( la chignole non plus)
_ j'ai dû demander, dans un moment d'égarement, de " la péter, cette p*tain de porte!" ( enfin, littéralement: " très cher, pourriez-vous, d'une pression habile, faire rendre gorge à cet huis récalcitrant?")

On ne récolte que ce que l'on sème ( et on sème toujours, c'te blague!).

Allez, la suite au prochain numéro...

NB: Titou est libéré, mais miss Lo avait trouvé la technique pour le sustenter: aplatir des sandwichs de pain de mie au rouleau, les emballer de papier d'alu et les passer sous la porte!

N°92: la malédiction du retour de la pile rechargeable...

...ou pas.
Bon déjà, vacances, c'est fait ( bon, sauf la semaine de la rentrée des classes sur le continent, pendant laquelle on sera à nouveau en vacances, mit the playa pour nous tous seuls, vous voyez, le lagon, là, c'est entre les poissons et nous que ça se passe!).
Retour au boulot, c'est fait aussi.
Plein de bricolage qui attendait son heure avec impatience, de recettes de gâteaux super bons, c'est fait aussi, de photos pour vous laisser baver devant tant de maitrise de mon cerveau gauche que Leonardo, à côté, c'est rien du tout ( oui, je suis très très modeste...et Pompon, pour les lecteurs d'un âge certain, dont le mien!)...
Ah ba non, pour les photos, ça va être service minimum.
Rapport au titre de ce super numéro.
Quand j'ai enfin finalisé mon oeuvre ( ça le fait, pour les diners de l'ambassadeur. A utiliser en alternance avec le balançage de noms ( traduction de ouambi) genre: " j'ai bien connu l'entraineur du bourrin qui a failli aller aux jeux olympiques s'il avait pas eu peur de l'avion ( le cheval, pas l'entraineur)"), j'aime bien prendre une petite photo, pour que vous vous esbaudissiez en cœur. Et là, paf, la fourbitude de la pile, qui:
_ est bien là, mais déchargée ( attention, pas quand vous appuyez sur "on", juste quand vous voulez prendre la photo!)
_ a été mise à charger ( par vos soins), mais a disparu du chargeur au moment où vous pensez qu'elle est au top
_ a bêtement disparu de votre appareil photo et même pas un petit mot : " F. m'a piquer"
Donc, si quelqu'un lance un antivol pour piles, qu'il n'hésite pas à me contacter en priorité.
Enfin, avec le peu de photos que j'ai réussi à faire, je vais essayer de réanimer ce blog en sortie de pause estivale.
Allez, la suite au prochain numéro...