mardi 14 avril 2009

N°86: Joyeuses Pâques!


Dimanche de Pâques: un temps à ne pas mettre une cloche dehors.
Du coup, on fait la cuisine et on mange... ( par ordre d'apparition dans la cuisine, on a tout remis dans l'ordre pour le repas!):
_ un cacavelli ( oui, c'est ça, l'ovni sur la photo)
_ un gigot de j'ai plus le temps pour 7 h, donc ça sera moins et c'est pas mal non plus
_ vous les attendiez tous, les voici les voilà, les flageolets ( toujours la même recette, poitrine séchée revenue dans une poêle, petits oignons, cloucloutage de sauce tomate mit the concentré de la même bête, versage des ingrédients précédemment nommés, ouverture de boite de flageolets, rinçage à grande eau ( oui, sinon, c'est méga beurk, le flageolet pas rincé. Vous pouvez aussi le laper froid à même la boîte, vous verrez comme c'est bon! Oui, ceci est une deuxième parenthèse, dans ma parenthèse. Et même que j'ai écrit deuxième, pas seconde...) et jetage dans la casserole pour tenir compagnie aux oignons, lardons...
Et comme les cloches, on était pas tout à fait sûr de les avoir entendues, posage des chocolats à même la table de la cuisine, à la fin du repas. Bon, devant la vindicte puérale ( de puer, l'enfant, dont deux sont bientôt ados et le troisième se tâte), Mr Kinder était resté at home. Samedi, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, je suis partie quérir l'oeuf, la poule, la cloche...le Graal, quoi, chez the chocolatier de chez nous. Et j'ai bien fait de m'y prendre à l'aube, parce que c'était les derniers! Et oui, c'est quand même vachement meilleur ( pour la modique somme de bip euros soixante quatre tout rond, soit presque le prix d'une voile de caravelle. Oui, le Mâle ayant poncé tout l'hiver ne parle plus qu'en % du prix d'un accessoire de son frêle esquif).
Pour conclure, le cacavelli tiède, c'est hyper bon, bien qu'un peu cousin de la mouna ( comprenne qui pourra). Sorti de son contexte pascal, pas dit que j'en refasse dans l'immédiat.
Allez la suite au prochain numéro...

Aucun commentaire: